Si les troubles dys sont des troubles cognitifs, rendant l’apprentissage de la lecture, du langage, du calcul, du geste ou de l’attention, plus difficile, en périphérie de ces dysfonctionnements, les enfants développent souvent des problèmes d’ordre psychologique (perte d’estime de soi, anxiété, inhibition, insomnie…), pouvant aller jusqu’à la phobie scolaire. Heureusement, l’hypnose peut influencer ces états, pour offrir aux enfants, un autre point de vue de ces troubles de l’apprentissage.
L’hypnose, pour lever l’inhibition intellectuelle
Technique thérapeutique en pleine expansion, même si des idées reçues persistent, l’hypnose peut intervenir dans de nombreux domaines : arrêt du tabac, perte de poids, accompagner l’accouchement, réduire le stress… Si elle ne peut soigner les troubles dys, elle peut agir sur les conséquences négatives traditionnellement observées, en périphérie de ces difficultés d’apprentissage.
Généralement frustrés de ne pas réussir ou comprendre un élément dans leur scolarité ou dans leur vie quotidienne, les enfants dys développent souvent une inhibition intellectuelle. Autrement dit, ils préfèrent abandonner ou ne pas réfléchir, pour ne pas être confrontés à un nouvel échec. Particulièrement limitante, cette attitude les empêche de faire des progrès et de trouver des alternatives pour contourner leur problème.
Ici, l’hypnothérapeute de la plateforme Ora Visio peut intervenir, pour inverser cette tendance et leur distiller l’envie et la volonté de progresser.
Un accompagnement sur-mesure pour les dys
Concrètement, le professionnel va aider l’enfant à changer son point de vue sur son « handicap ». La plupart des dys ont une extraordinaire capacité à percevoir les symboles — ce langage, conçu à partir d’images, qui permet de dialoguer avec l’inconscient. Ici, il n’existe pas de vérité unique, mais plutôt un éventail de vérités probables, qui les invite à trouver la leur. Ainsi, connectés à leurs émotions, à leurs sensations, à leurs intuitions, ils peuvent développer leur méthode pour décoder leur trouble. Par cet accompagnement, l’hypnothérapeute réduit considérablement le stress des enfants dys, jusqu’ici bloqués dans la recherche de la « bonne » réponse ou orientation.
Par ailleurs, d’un point de vue strictement neurologique, la transe hypnotique contribue à « re-muscler » le corps calleux, ce pont reliant les deux hémisphères et chargé de passer l’information d’un côté à l’autre. Ça le rend plus fluide, tout en développant le raisonnement logique et la créativité.
L’auto-hypnose, les clés de la confiance en soi à tout moment
L’hypnose chez les enfants, absolument sans risque, se pratique à tout âge et permet de réduire les conséquences des troubles dys (confiance en soi) comme celles du TDAH (stress, manque de concentration, oublis…).
Public très réceptif, l’apprentissage de l’auto-hypnose est encore plus facile chez les dyslexiques — notamment grâce à leur belle capacité extra-sensorielle naturelle. Ludique, cette thérapie brève (hypnose Ericksonienne) est orientée vers une solution immédiate, pour donner à l’enfant les clés pour y recourir, lorsqu’il se trouve dans une situation où il manque de confiance.
N’hésitez pas à contacter un hypnothérapeute en ligne sur la plateforme Ora Visio : la première séance pourra certainement lever vos dernières objections et vous tranquilliser, quant à cette approche thérapeutique !
